* Contact : torent@wanadoo.fr *
Horlogerie F.P-L
Redécouvrez l'horlogerie, comme vous ne l'avez jamais encore vue !
Tout au long de cette page, vous pourrez découvrir l'histoire de ce domaine qui est souvent oubliée de nos jours..
Usine Carillons, comtoises...
Histoire : Fondés en 1871, les Ets Romanet fabriquent horloges, pendules et carillons, sous les marques Roma et Jura. Leurs ateliers sont installés à la Combe froide, dans la ferme familiale. En 1948, la société Les Fils de F. Romanet demande l'autorisation de construire à proximité une usine d'horlogerie, sur des plans de l'architecte André David, de Saint-Claude. Achevée en 1951, celle-ci est complétée par un second bâtiment en 1961. La société ouvre une deuxième unité à Domblans en 1974, mais fait faillite en 1981. Elle est reprise en 1984 par la S.A. Productions Romanet, créée pour l'occasion par la société horlogère Odo. Fondée à Morez en 1924 par Léon Odobez, cette dernière transfère ses activités dans l'usine de Morbier en 1990. En 1992, sa production se répartit en 20 % de lunetterie haut de gamme (environ 10 à 11 000 montures métalliques par mois) à Domblans et 80 % d'horlogerie à Morbier, soit environ 3000 horloges comtoises par an (dont les caisses en bois sortent de Domblans) et 40 000 pendules et réveils électriques. Elle serait la dernière fabrique française de mouvements mécaniques pour les horloges comtoises. 180 personnes dans les Ets Gaston Romanet et Fils vers 1965. 140 personnes chez Odo en 1992 : 70 à Morbier et autant à Domblans.
http://www.actuacity.com
Publicité:
Publicité de 1949 d'un carillon des Fils Romanet dans le Jura, présentant une horloge 4 airs (exclusif pour l'époque).
Advertisement of 1949 a chime of Romanet Son in the Jura, a clock with 4 tunes (exclusive for the time).
Usine de carillons ODO:
Histoire : L'usine est édifiée vers 1950 sur les plans de l'architecte Jean-Constant Duboin, de Saint-Claude, pour la société horlogère Odo qui, fondée en 1924, occupe alors des locaux au 18 avenue Charles de Gaulle. Quittant ces derniers (cédés à la société Marius Morel) , elle fait, en 1964 et 1965, agrandir l'usine par l'architecte san-claudien Auguste Favier pour y installer son atelier de mécanique. Elle produit alors pendules et carillons Westminster mais aussi des moulinets pour cannes à pêche. En 1973 et 1974, une nouvelle extension est réalisée par l'architecte Léon Cretin, de Morbier, pour les bureaux et le bureau d'études. En 1987, Odo vend le site à la société de lunetterie Lux de Morez (successeur de Louis Jacquemin et Fils) . Conservant la jouissance des bureaux jusqu'en 1990, Odo transfère ses ateliers de fabrication dans l'usine précédemment occupée par Lux, au 6 avenue Charles de Gaulle, puis réunit l'ensemble de ses services à Morbier. Quant à la S.A. Lux de Morez, elle rapatrie alors rue Voltaire sa filiale Gala installée, depuis sa création en 1976, rue des Essards dans l'usine Louis Colin. En 1991, sa production a été de 500 000 paires de lunettes. 1954, mouvement de pendulette électrique à piles. 110 personnes chez Odo en 1951, 140 pour Lux à Morez en 1988 (sur les 300 du groupe) .
http://www.actuacity.com
Publicité GRIVOLAS:
Vous pourrez découvrir à votre gauche, une publicité d'époque sur les pendules 400 jours de GRIVOLAS à PARIS, mettant en valeur la qualité de cette horlogerie de précision n'ayant besoin que d'être remonté une fois par an.
Frédéric JAPY:
Il mécanise la fabrication horlogère par des machines qu'il crée lui même et concentre ainsi toute la fabrication dans l'établissement de son beau-père. Il développe les « cités japy », cités ouvrières qui permet de loger le personnel qui, autrefois, travaillait à domicile. Il fait partie de la longue liste des inventeurs du pays de Montbéliard. Un musée est consacré à sa personne à Beaucourt. La fabrication de pièces pour l'industrie horlogère fonctionne traditionnellement selon le procédé dit de l'établissage : Des artisans spécialisés travaillent à domicile, et fournissent chacun un type très spécifique de pièce. Pièces ensuite collectées et assemblées par un «Etablisseur».
Frédéric Japy regroupe ses ouvriers dans une usine à part de la ville pour minimiser les coûts de transfert. Pour chaque poste de travail, il conçoit une machine-outil adaptée et capable d'opérer une production en série. Japy augmente à faible cout les cadences de production tout en réduisant la main d'œuvre nécessaire. Alors que 150 ouvriers en moyenne intervenaient pour réaliser le produit fini, ses dix machines-outils lui permettent de concevoir les 83 pièces de l'ébauche, puis de les assembler.
Wikipedia
Dépliant Catalogue:
Vous découvrez à votre gauche une publicité d'époque sur les carillons Westminster "un choix unique à des prix imbattables". Avec possibilité de ventes au comptant ou bien à crédit.
Dépliant Aiguilles Bréguet:
Ce dépliant vous présente les différents types d'aiguilles bréguet d'époque Lépine et Empire.
Cette fiche nous dévoile les différentes aiguilles dont nos pendules sont munies: taille, épaisseur, qualité, et donc cela nous permet de situer l'époque de l'horloge.
Jean-Baptiste Schwilgué:
Jean-Baptiste Schwilgué (Strasbourg, 18 décembre 1776-15 décembre 1856). Mathématicien et horloger célèbre, fabricant d’horloges d’édifices il doit sa célébrité grâce au travail qu’il mena sur l’horloge astronomique de Strasbourg. Autodidacte, il étudia les mathématiques et l’astronomie puis se fit horloger.
Dans la cathédrale de Strasbourg, l’horloge astronomique de Dasypodius cessa de fonctionner peu avant la Révolution et resta dans cet état jusqu’en 1838.
De 1838 à 1843, l’horloge fut transformée par Schwilgué qui avait rêvé de la réparer dès son plus jeune âge et cela resta la force directrice de sa vie.
Les deux frères Ungerer, Albert et Théodore participèrent à cette restauration. C’est Théodore qui est venu évaluer la vieille horloge et les travaux à réaliser à l’église de Phaffans en 1855.
Publicité "Le Petit Journal":
Sur votre gauche et en dessous, vous trouverez des publicités des magasins d'horlogeries et bijouteries anciennes qui étaient parues dans "Le Petit Journal" le 25 janvier 1913.
Horlogerie, Bijouterie (19 & 20ème siècle) :
* Deux exemples typiques du 19 et 20ème siècle qui illustrent bien ce cas, un magasin d'horlogerie, bijouterie ROUX (1919) à Alès dans le GARD et puis F.SAÏN (1900), qui appartenait à M. et Mme MOUSSU au début du siècle dernier.
On remarque que le magasin des MOUSSU, n'a aucun rideau pour la fermeture du magasin, ce qui est impensable de nos jours...
L.D. ODOBEY CADET :
Cette affiche représente la marque ODOBEY CADET qui lors de salons et expositions reçoive des récompenses (médailles) pour leur fabrication de mouvement de pendules d'édifices.
Horloge de la Gare d’Orsay Paris :
La gare d’Orsay fut construite pour l’exposition universelle de 1900, propriété de la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, Elle fut conçue par l’architecte Victor Laloux sur le site du Palais d’Orsay brulé par la commune en 1871, fermé en 1945, elle fut menacée de destruction, elle est classé en 1973,Valéry Giscard d’Estaing, président de la république décide de la transformer en musée des arts du XIXe siècle.
Outil gratuit et accessible à tous
Je crée mon blog